Code de conduite pour les associations membres
1. Promotion de valeurs éthiques.
Les membres de l’ACC-Europe promouvront un code éthique pour le Conseil chrétien, contenant des directives concernant les valeurs chrétiennes et la pratique éthique dans la relation d’aide, qui servira à élaborer et à évaluer des décisions éthiques sur base des fondements bibliques-éthiques, tout en prenant en compte les lois de leur pays. Ce code sera à la fois souhaitable et applicable.
2. Respect des autres pays.
Les membres de l’ACC-Europe acceptent la confession de foi et la même définition de la relation d’aide chrétienne. Ils acceptent toutefois que les pays aient des cultures différentes, une histoire d’Eglise différente, des lois différentes et des besoins différents. Ces différences sont considérées comme complémentaires et comme une occasion d’apprendre l’un de l’autre.
3. Travail ensemble pour l’excellence.
Les membres de l’ACC-Europe déploieront tout effort nécessaire pour garantir et maintenir la qualité de leur système d’accréditation. Pour cela :
1. c’est leur objectif d’organiser l’accréditation et la reconnaissance des cours de telle façon que l’accréditation et la reconnaissance pourront être mutuellement échangées entre les pays ;
2. les membres de l’ACC-Europe donneront aux conseillers accrédités d’autres pays un statut d’accréditation au niveau équivalent dans leur pays.
4. Le service dans une autre culture.
Les membres de l’ACC-Europe attendent des membres de leur pays d’être sensibles aux autres cultures. Les membres de l’ACC-Europe éviteront strictement toutes activités qui puissent causer du tort ou heurter les ministères qui existent dans un autre pays. Si c’est le souhait que les membres d’une ACC d’un autre pays entreprennent des activités qui accroissent la cause du Christ dans le pays d’accueil, ils feront preuve de respect pour l’ACC du pays dans lequel ils travaillent. Ceci inclut :
1. une communication avec le bureau de l’ACC du pays étranger dans lequel ils veulent commencer un ministère, organiser un cours, etc., ayant en vue la recherche du besoin en initiatives dans ce pays ;
2. d’informer le bureau de l’ACC du pays étranger, lorsqu’ils sont invités par une Eglise locale ou une organisation pour exercer un ministère ou donner un enseignement ;
3. de ne pas accepter des demandes d’accréditation ou des demandes de membres de citoyens d’un autre pays, sans un accord spécifique du bureau de l’ACC du pays de résidence du membre en demande.
Adopté le 14 février 2001